En mon cœur, en mon chef (l’un source de la vie, L’autre siège de l’âme), un amour haut et saint Votre sacré portrait a si vivement peint Que par mort ne sera sa peinture ravie. Car l’une n’étant point à la mort asservie, Ce qui est peint au vif dedans elle, et empreint Au cœur dans le désir (qui ne peut être éteint Sans l’âme) en l’âme
vit, bien que le corps dévie. Mais, las ! l’œil de mon corps, qui ne se peut passer De voir incessamment ce que voit son penser, Fait qu’avec telle ardeur je vous requiers tel gage. Votre image, de grâce, au corps ne refusez, Ou bientôt par langueur, si de refus usez, Il verra l’âme au ciel emporter votre image.
À sa Muse Afin qu’en cet ouvrage ... Allez, mes vers, enfants ... Amour vomit sur moi sa fureur Aux communes douleurs ... Avec ton cher portrait ... Celle qui est au vif ... Chaque temple en ce jour ... Combien de fois mes vers ... Comme un qui s’est perdu ... De moi-même je suis dévotieux De quel soleil, Diane ... Des astres, des forêts ... Des maux qu’un désespoir ... Dès que ce Dieu ... Des trois sortes d’aimer ... En ce jour que le bois, le champ En mon cœur, en mon chef ... En quelle nuit, de ma lance ... En tous maux que peut faire ... Encor que toi, Diane ... Épitaphe du Membre viril ... Et quoi ? tu fuis Amour ? ... Il faut que pour ton mai ... J’aime le vert laurier ... Je m’étais retiré du peuple ... Je me trouve et me perds ... Je meure si jamais ... Je ne suis de ceux-là ... Je te rends grâce, Amour ... Je vivais mais je meurs ... Jusqu’aux autels ... La Roche du Caucase ... Madame, c’est à vous ... Madame, j’ai regret ... Maudirai-je, Madame ... Même effet qu’ont les vents ... Ô Toi qui as et pour mère Ô traîtres vers ... Ou soit que la clarté du soleil ... Par quel sort, par quel art ... Passant dernièrement des Alpes Plutôt la mort me vienne ... Pourrais-je voir l’heureuse ... Quand ton nom je veux faire ... Que n’ai-je mes esprits ... Quel heur, Anchise ... Quelle humeur, mais quel crime Quelque lieu, quelque amour ... ... qui voudra cet Amour ... Sans pleurer ... Saphon, la docte Grecque ... Si quand tu es en terre ... Si quelqu’un veut savoir ... Tout cet hiver par l’âpre ...
Je te rends grâce, Amour ...
En ce jour que le bois, le champ ...
Je ne suis de ceux-là ...
Et quoi ? tu fuis Amour ? ...
À sa Muse
Il faut que pour ton mai ...
Afin qu’en cet ouvrage ...
Si quelqu’un veut savoir qui me lie
Je vivais mais je meurs, et mon cœur ...
Pourrais-je voir l’heureuse ...
Madame, j’ai regret ...
Quelle humeur, mais quel crime ...
Madame, c’est à vous ...
Des astres, des forêts ...
Chaque temple en ce jour ...
Saphon, la docte Grecque ...
La Roche du Caucase ...
J’aime le vert laurier ...
Allez, mes vers, enfants d’un deuil
Encor que toi, Diane ...