Dans le vieux parc solitaire et glacé Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles, Dans le vieux parc solitaire et glacé -Te souvient-il de notre extase ancienne ? -Ton coeur bat-il toujours à mon seul nom ? -Ah ! les beaux jours de bonheur indicible Qu'il était bleu, le ciel, et grand l'espoir ! Tels ils marchaient dans les avoines folles,
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Paul Verlaine
Verlaine - Fêtes galantes (1869)Oeuvres de Verlaine |