Quand d’un souffle jaloux la Parque meurtrière Viendra de mon flambeau dissiper la lumière, Si tu viens près de moi, sur mon lit de douleur Ta présence pourra répandre des douceurs. Pour
apaiser l’effroi que cet instant réveille, Que le son de ta voix flatte encore mon oreille, Qu’autour de toi mes bras soient encore attachés, Que tes yeux sur les miens soient encore penchés, Que
ta bouche se joigne à ma bouche expirante, Que je tienne ta main dans ma main défaillante !