Nouveau cultivateur, armé d'un aiguillon, L'Amour guide le soc et trace le sillon ; Il presse sous le joug les taureaux qu'il enchaîne. Son bras porte le grain qu'il sème dans la plaine. Levant le front, il
crie au monarque des dieux : " Toi, mûris mes moissons, de peur que loin des cieux Au joug d'Europe encor ma vengeance puissante Ne te fasse courber ta tête mugissante. "