Les roses étaient toutes rouges Chère, pour peu que tu te bouges Le ciel était trop bleu, trop tendre, Je crains toujours, - ce qu'est d'attendre ! - Du houx à la feuille vernie Et de la campagne infinie
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Paul Verlaine
Verlaine - Romances sans paroles (1874)Oeuvres de Verlaine |