Je ne suis de ceux-là que tu m’as dit se plaindre Que leur Dame jamais ne leur donna martel ; Vu l’âme véhémente, un dur martel m’est tel Qu’il peut plus à la mort qu’à
l’amour me contraindre. S’il peut doncques l’amour avec ma vie éteindre, En tout amour je chasse un poison si mortel ; Puis ayant mon sujet haut, céleste, immortel, Humble et petit,
pourrais-je en moi tel mal empreindre ? Mais las ! d’avoir peur d’être en ton cœur effacé, Craindre qu’un Delta double en chiffre entrelacé Ne soit plus pour mon nom, craindre
qu’en ton absence Tu ne me fasses plus tes lettres recevoir, Ce n’est pas un martel, c’est d’amour le devoir Qui montre en froide peur l’ardente révérence.
À sa Muse Afin qu’en cet ouvrage ... Allez, mes vers, enfants ... Amour vomit sur moi sa fureur Aux communes douleurs ... Avec ton cher portrait ... Celle qui est au vif ... Chaque temple en ce jour ... Combien de fois mes vers ... Comme un qui s’est perdu ... De moi-même je suis dévotieux De quel soleil, Diane ... Des astres, des forêts ... Des maux qu’un désespoir ... Dès que ce Dieu ... Des trois sortes d’aimer ... En ce jour que le bois, le champ En mon cœur, en mon chef ... En quelle nuit, de ma lance ... En tous maux que peut faire ... Encor que toi, Diane ... Épitaphe du Membre viril ... Et quoi ? tu fuis Amour ? ... Il faut que pour ton mai ... J’aime le vert laurier ... Je m’étais retiré du peuple ... Je me trouve et me perds ... Je meure si jamais ... Je ne suis de ceux-là ... Je te rends grâce, Amour ... Je vivais mais je meurs ... Jusqu’aux autels ... La Roche du Caucase ... Madame, c’est à vous ... Madame, j’ai regret ... Maudirai-je, Madame ... Même effet qu’ont les vents ... Ô Toi qui as et pour mère Ô traîtres vers ... Ou soit que la clarté du soleil ... Par quel sort, par quel art ... Passant dernièrement des Alpes Plutôt la mort me vienne ... Pourrais-je voir l’heureuse ... Quand ton nom je veux faire ... Que n’ai-je mes esprits ... Quel heur, Anchise ... Quelle humeur, mais quel crime Quelque lieu, quelque amour ... ... qui voudra cet Amour ... Sans pleurer ... Saphon, la docte Grecque ... Si quand tu es en terre ... Si quelqu’un veut savoir ... Tout cet hiver par l’âpre ...
Quelle humeur, mais quel crime ...
Je meure si jamais ...
Épitaphe du Membre viril de Frère Pierre
Je vivais mais je meurs, et mon cœur ...
Maudirai-je, Madame ...
Je ne suis de ceux-là ...
Allez, mes vers, enfants d’un deuil
Amour vomit sur moi sa fureur ...
Que n’ai-je mes esprits ...
Madame, c’est à vous ...
De quel soleil, Diane ...
De moi-même je suis dévotieux ...
Aux communes douleurs qui poindre ...
Quelque lieu, quelque amour ...
Chaque temple en ce jour ...
Des astres, des forêts ...
Je te rends grâce, Amour ...
Ô Toi qui as et pour mère et pour père ...
En ce jour que le bois, le champ ...
Des trois sortes d’aimer ...